Récits de mes aventures sexuelles
Divers
Je n’étais déjà plus tout jeune, j’avais précisément 16 ans 5 mois et 19 jours. Je le sais car cette date correspond à une date historique importante ; la victoire de l’OM en finale de coupe d’Europe. A l’époque déjà, je n’avais aucun désir sexuel. Je vivais bien sans utiliser mon sexe, alors pourquoi changer ? C’est d'ailleurs toujours ma philosophie d'aujourd’hui. Donc j’avais 16 ans, je n’avais qu'un duvet au menton, mais déjà une forêt de poils avait pris racines sur le sol humide de mes gonades. Il ne m’était jamais venu à l’esprit de me masturber. Jamais. Je m'interroge sur ce qui motive les jeunes à se secouer la nouille pour la première fois; est-ce pour tester les outils, ou est-ce vraiment pour assouvir un désir ? C'est étrange, on parle souvent de la première fois que l’on fait l’amour à deux, mais jamais de la première fois où on le fait seul. Pour moi, c’est un peu par hasard. Il y a eut trois phases. La première, facile ; la seconde douloureuse et sans résultat, et la troisième, un peu plus traditionnelle.
Première phase : la découverte d'une nouvelle substance
Je ne souviens plus trop de la date, mais je devais avoir 16 ans et 5 mois. En fait ce ne fut pas vraiment une masturbation, ce fut seulement la première fois où du sperme s’est échappé de mon sexe. C’est vrai, on ne peut pas parler de branlette, vu que j’ai éjaculé sans me toucher. Oui oui c’est possible, je vous le jure. J'ai éjaculé sans qu'il y ait eut contact sur ma zézette. Comment cela est-ce possible, vous demandez-vous ? En fait, c’était la nuit, dans mon sommeil. Je ne me souviens pas de qui j’avais rêvé, mais je me suis réveillé le slip mouillé et les doigts secs. Ce ne fut d'ailleurs pas la seule fois où cela m’est arrivé. C’est pour cela que je me force à me branler au moins tous les 3 jours, ou à chaque fois qu’un truc à excité mon gourdin dans la journée, sinon faut passer la seconde moitié de la nuit dans des draps mouillés, et ça ce n’est pas très agréable. Revenons-en à ma jeunesse. Cette éjaculation involontaire au milieu de la nuit ne changea finalement rien à ma vie. Je n’étais pas fier, mais plutôt inquiet. Qu’est ce que j’allais faire de ce truc ? Quelques jours plus tard, je trouva une utilisation que je pensais à l'époque temporaire : la masturbation.
Deuxième phase : La douleur.
J'étais dans la baignoire, je prenais un bain. Je m’astiquais le corps avec un gant de toilette et du savon, quand j’en suis arrivé au sexe. Comme d’habitude j’ai nettoyé l'extérieur, puis j’ai décalotté le gland pour le nettoyer. J’ai commencé à le frotter doucement. C’était bon. Je prenais du plaisir. Je me suis étendu tout au fond de la baignoire, j’ai fermé les yeux et je me suis astiqué le bout avec le gant de toilette et du savon pendant quelques minutes. C’était vraiment agréable. Je parcourrai doucement ce petit morceau de chair, puis un peu plus rapidement pour faire monter les frissons. Quand soudain je ressenti un petit picotement. Effectivement, le gant de toilette n’était plus tout jeune ni tout doux. Et à force de frotter le savon était parti et le gant s’était asséché. Je me rappelle de ce que j’ai vu en ouvrant les yeux : la peau de mon gland saignait à l’avoir trop frotté ! C'est une image horrible qui me refait encore mal lorsque j’y repense ; j’avais arraché la peau de mon gland ! En plus, j’ai eut une réaction malheureuse; pris de panique je l’ai trempé dans l’eau pour retirer le sang. Réaction malheureuse, ça m’a piqué 100 fois plus : j’ai eut l’impression de tremper ma bite dans de l’acide. J’ai vraiment souffert; ça me piquait horriblement, comme si on me passait la bite à la ponceuse. Cette douleur me fit souffrir plusieurs jours. Plusieurs fois le gland se cicatrisa, mais à chaque fois, la peau du prépuce se colla dessus. Plusieurs fois par jour, je me suis forcé à le décalotter et à chaque fois c’était super douloureux. A chaque érection ou à chaque fois que je pissais, les croutes se décollaient et la chair était de nouveau mise à nue. J’ai eut mal pendant près de deux semaines. J'avais honte de moi, mais je n’imaginais pas que ce n’était que le début d’une vie sexuelle catastrophique.
Troisième phase : Ma vraie première branlette
Quelques jours et quelques semaines plus tard, un soir dans ma chambre, un étrange objet m'empêcha de m'endormir sur le ventre, position favorise pour retrouver les bras de Morflée. N'étant pas perturbé pour autant, je me suis retourné et pris une position que l'on dit fœtale. Cependant, je n'arrivai toujours pas à m'endormir. J'étais nerveux. J'avais besoin de bouger. Alors, machinalement, je pris dans mes mains le premier truc qui me venait et j'ai commencé à le tripoter pour faire passer un stress bien étrange. Et j'ai rapidement commencé à me sentir mieux. Je me suis alors allongé sur le dos pour pouvoir profiter de cet instant de quiétude tout en poursuivant ce massage si apaisant. J'ai continué à secouer ce morceau de chair dilaté par un afflux sanguin, de plus en plus vite pour me sentir de mieux en mieux. Une autre sensation commença à monter en moi, un frémissement au niveau des testicules. Ce n'était pas désagréable et j'ai accéléré le mouvement sans me poser de questions, totalement passionné par l'aventure que je vivais. Quand soudain, au maximum des frémissements, au maximum des sensations, une substance blanchâtre jaillit. Elle jaillit sous forme saccadée et j'accompagnai chaque jaillissement d'un coup de reins. Lorsque plus rien de sortait, je me suis détendu dans un grand soupir. Je n'avais pas finit depuis deux secondes que j'étais déjà redescendu sur terre avec cette question : comment nettoyer ?
En fait, c’était la nuit, dans mon sommeil. Je ne me souviens pas de qui j’avais rêvé, mais je me suis réveillé le slip mouillé et les doigts secs
Sifranc: on appelle cela les pollutions nocturnes
On ne peut pas se blesser à ce point en se masturbant ! Lol.
T'exagère! Quelle idée aussi de faire ça avec un vieux gant tout pourri qui ne demande qu'une chose : qu'on l'achève.
Je te jure que cette histoire est vraie !
OK, il n'y avait pas du sang qui dégoulinait de partout, mais ça a mis un sacré bout de temps à cicatriser. Le pire c’est quand je bandais…
C’est vrai que j’ai été un peu con de me branler avec une râpe à gruyère. Mais je n’avais rien prévu. Ce fut un instant improvisé avec les moyens du bord. Je découvrais une nouvelle sensation et j’ai fait le vide autour de moi pour profiter au maximum de cet instant si doux.
Un truc que je n’ai jamais raconté : vers l’age de 12-13 ans, je ne sais plus trop bien, j’ai cru que le frein (petit morceau de peau qui uni le prépuce au gland) était une anomalie de mon sexe. Un jour j’ai pris une paire de ciseaux et du désinfectant pour corriger cette altération. J’ai décalotté mon poireau, tendu le prépuce vers le bas, approché la paire de ciseaux. Quand les deux lames étaient en position, prêtes à trancher, j’ai fermé les yeux, pris une grande inspiration….. et je n’ai pas eut le courage de couper. OUF !
Oui, je ne vois que cette explication. Lol, ce n'est pas possible autrement.
Je sais je devrais pas rire, mais je peux pas m'en empêcher.
Par contre 16 ans et demi... c'est super tard je trouve ! L'idée ne t'étais jamais venue à l'esprit avant ? :o
Mais rigole va, même moi je me fend la gueule.
A 16 ans et demi, y en a qui couche depuis longtemps a cet age là. J'ai découvert le mot "éjaculation" vers l'age de 15 ans, l'existence du clitoris vers 18 ans et le premier clito que j'ai vu, c'est sur une vidéo téléchargée quand j'ai eut internet chez moi à l'age de 24 ans... Comme quoi, une mauvaise éducation, ça laisse des séquelles toutes la vie.
Mais bon, depuis ce temps, je me suis bien rattrapé. Au niveau du nombre de masturbation dans ma vie, je dois battre allégremment tous les lecteurs de mon site !
Je visite ton site pour la première fois. Je viens de chez Patricia. Le peu que j'ai lu, m'impressionne déjà beaucoup.
Détrompe -toi à propos de la masturbation. Je connais les hommes, et je crois que certains, même avec une vie sexuelle remplie, se masturbent fréquemment.
Je crois que tu devrais lire un article de mon ancien blog qui s'appelle "l'innocent géant" http://www.u-blog.net/blanchetamay/note/36, et je précise que je ne suis pas en maison de retraite ;-)
Je continue à te lire. Courage.
Quelques réflexions en vrac :
- "Ce qui motive les jeunes à se secouer la nouille" ? Pareil pour que les filles : découverte de leur corp qui se fait tôt
- les éjaculations nocturnes oui ça arrive !
- J'ai eu mal pour ton ... j'espère que depuis tu as trouvé autre chose qu'un vieux gan et du savon !... Et comme j'ai lu les commentaires j'ai fait une drole de tête pour ton frein
- La masturbation est un fabuleux anti stress ! Comment nettoyer looool un tour dans la salle de bain?
Pourquoi tu parles de mauvaise éducation? Famille trèèèès stricte ?
"Comment nettoyer un tour dans la salle de bain? "
Pas si simple que ça, car entre la salle de bain et ma chambre, il y a un couloir avec une porte donnant sur la chambre de mes parents. J'imagine bien ma mère sortant à ce momment là me demandant ce qui se passe: "Ma chère mère, j'ai une grande nouvelle a t'annoncer : je viens de me branler pour la première fois de ma vie !"
Un p'tit kleenex, mais ça ne suffit pas !
Non, je prend une éponge. La même que pour faire la vaisselle, ça m'excite ensuite quand j'ai des invités qui viennent manger chez moi.
Eliminer de quoi ?
Y avait une compétition ?
Je suis désolé, mais mon humour ne vole pas haut quand j'écris des commentaires après un week-end riche en festivité et pauvre en sommeil.
Tiens, tu es revenu de vacances ?
Moi j'y pars dans une semaine et 3 jours.... en tête à tête avec une demoiselle !
Rassures-toi, tout est rentré en ordre, même si ça a pris du temps. Je crois avoir souffert pendant 2 semaines. Mais peut-être que je fus moins blessé que toi. Tu pourrais m'envoyer une photo s'il te plait ? Je pourrais ainsi comparer les gravités de nos blessures : pete.oyable@laposte.net
Pour finir, pour ma part, les séquelles de cet accident ne furent pas physiques, mais psychologiques. Je crois que ce fut le point de départ de ma pitoyable vie sexuelle. Bon courage, il t'en faudra.